La mode à notre service
Je ne sais pas où prend racine ce besoin de rigueur et de sérieux qui me rend si difficile d’aborder les sujets jugés futiles ici. Pourtant convaincue qu’il n’existe (presqu’) aucun sujet n’étant pas digne de se voir consacré quelques lignes, je sais qu’il est là le noeud qui m’empêche de m’approprier pleinement cette catégorie mode que je n’ai plus mise à jour depuis un an. Pourtant la mode fait partie de tous nos quotidiens et derrière son apparente futilité, est éminemment politique. Elle orne les murs, les vitrines et les pages des magazines, elle nous habille, nous façonne, nous identifie, déchaîne les passions, s’invite à nos grands débats de société, délimite nos libertés et amasse au passage des millions. Elle dessine des appartenances, fait le jeu de certaines discriminations et est un ressort de communication pour nombre de sociétés et professions. Aussi supposément futile soit-elle, la mode est encore aujourd’hui sujette aux lois régissant la longueur d’une jupe ou d’un pantalon et souvent interrogée en premier dans les enquêtes pour agression sexuelle.
La mode impacte ainsi les individus au-delà des seuls (et ils sont nombreux) qui s’intéressent à elle : les travailleurs qui la fabriquent dans des conditions souvent déplorables (voir le documentaire The True Cost), les personnes qui vivent près des usines ou sur les berges des cours d’eau qu’elles polluent, l’environnement et ses habitants, les travailleurs qui la distribuent sélectionnés/renvoyés sur les critères âge/physique et enfin ses consommateurs par le biais des polluants présents dans les textiles, des faux-besoins alimentés par la publicité, des complexes qu’elle nourrit, des jugements qu’elle suggère et de l’offre qui limitée à la « silhouette de notre époque » nous rend tous plus ou moins suiveurs de ses tendances. Ainsi, si je ne me suis jamais identifiée aux tenues présentées dans les magazines de mode, je sais que ma manière de m’habiller est empreinte des codes et règles tacites qui y sont décidés. Mes pièces fétiches en sont un parfait exemple : sneakers que tout le monde porte, montre que tout le monde a, coupe slim pour mon jean et blouse Sezane en uniforme. J’adore cette combinaison, elle est le portrait robot de ma manière de m’habiller au quotidien comme du contenu de mes placards, mais je sais désormais qu’elle m’ancre dans un lieu de vie, dans une société, dans un moment donné et même dans un milieu social.
Car si l’on s’intéresse à la mode c’est aussi – et ce de manière consciente ou non – parce qu’elle est décisive dans la formation de l’opinion d’autrui sur soi et qu’il est ainsi possible de communiquer à travers elle de façon instantanée, inconsciente et percutante. Nous en avons un exemple marquant avec les femmes qui indépendamment de leur personne, travail ou message sont souvent réduites à leur tenue ; en témoignent les innombrables introductions d’articles de presse détaillant par le menu la tenue d’une femme pourtant interviewée sur un tout autre sujet ; et jugées sur celle-ci avec tout un cortège de préjugés sur ce à quoi doit ressembler une femme faisant telle profession, ayant tel âge ou occupant telle place dans la société.
De toutes ces constatations je me pose la question : comment mettre la mode à notre service ?
Car malgré ce cadre délimité par nos contextes, notre appropriation personnelle du vêtement est aussi un laboratoire du soi, média de la réconciliation entre l’idée que l’on en a et l’image que le miroir nous renvoie. Le vêtement a le pouvoir de transcender nos contingences pour nous permettre de ressembler à la personne que l’on pense être. Il peut cacher, révéler, engager, revendiquer comme réduire, menacer et représenter un danger pour qui le porte d’une manière que la société ou un groupe réprouve. Il peut contraindre comme il peut accompagner, empêcher comme faciliter mouvements et activités.
Pour l’instant, c’est par un fin mélange de minimalisme et d’adéquation du vêtement avec mon quotidien et mes impératifs que j’essaye de mettre la mode à mon service. En consommant moins, en donnant les vêtements que je ne porte plus – soit parce que je ne les ai jamais portés, soit parce que je les ai trop portés – en achetant peu et des vêtements similaires à ceux que je porte encore et encore sans m’en lasser, en choisissant mieux, en privilégiant les périodes de soldes, de braderie ou les ventes de seconde main et, c’est tout récent, en essayant de me renseigner sur l’éthique de fabrication et de distribution des vêtements que j’achète (cela n’a pas du tout été le cas des vêtements de la tenue que je partage avec vous aujourd’hui, achetés avant cette prise de conscience). Mais ne nous leurrons pas pouvoir consommer de façon éthique est aussi un privilège : le privilège de la connaissance qui passe par l’accès à l’information et la disponibilité pour chercher/entendre cette information et un privilège économique. Car si l’on entend sans cesse qu’il vaut mieux acheter un pull plus cher que 3 issus de la fast fashion, on a parfois besoin de 3 pulls pour faire l’hiver et pas seulement d’un.
En tant d’impacts voici toutes les raisons qui me font penser que la futilité prêtée à la mode est un écran de fumée cachant les grands gagnants d’une industrie parmi les plus lucratives de notre temps et que nous avons tout intérêt à interroger la mode, lui demander des comptes et essayer de la construire par nos engagements et nos choix de consommation à l’image des droits que l’on se souhaite en tant qu’individu aussi bien qu’en tant que société.
Oct 13, 2017 @ 08:40:56
Ce n’est pas facile d’avoir un rapport conscient à la mode, parce qu’on alterne toujours entre envies et raison : j’essaie, de la même manière que toi, de responsabiliser un peu mon dressing. J’ai entamé ces derniers temps un sacré ménage d’automne dans mes placards (j’ai gardé de ma mère cette manie de ne pas se débarasser des vêtements, ce qui fait que n’ayant plus grandi depuis mes quinze ans, j’ai des choses absolument incroyables dans mon dressing) : ça me soulage, d’autant que je n’osais plus acheter, effrayée par la quantité de fringues que j’avais déjà. Maintenant, avec des placards clairement désemcombrés, j’essaie d’acheter peu mais bien : des pièces de qualité, plus de fast fashion, qui me plaisent vraiment et dont j’ai besoin. Et je dois avouer que ce n’est pas une contrainte, que c’est plus reposant comme ça, rien qu’en terme d’organisation du linge.
Je te l’ai dit hier sur Twitter, mais j’adore ce petit look automnal, qui ressemble beaucoup à ce que j’aime moi aussi porter au quotidien.La blouse est vraiment très chouette, je l’aime beaucoup beaucoup !
En tout cas, cet article était très bien : que tu abordes la mode avec un sujet sérieux ou non, le rendu est sympathique, et j’ai aimé lire tes réflexions pas culpabilisantes pour un sou au milieu de ces jolies photos.
Bonne journée !
Oct 13, 2017 @ 09:32:03
Merci pour ton petit mot ! Je suis entièrement d’accord avec toi sur cette balance entre envies et raison, je pense que cela prend du temps d’abord pour changer d’habitudes de shopping et ensuite pour connaître un pool de marques éthiques suffisamment important pour ne plus avoir besoin de se tourner vers la fast fashion lorsque l’on recherche une pièce en particulier.
Je suis très heureuse que tu n’aies pas ressenti mon article comme culpabilisant car c’était justement le message que j’espérais transmettre : oui pour une mode plus éthique, oui pour l’information, non pour le déni des difficultés que cela peut représenter selon la situation/période de vie/choix/envies de chacun.
Je te souhaite une belle journée,
A très vite !
Oct 13, 2017 @ 14:12:03
Coucou Célie :-)
Ton article a beaucoup raisonné en moi… puisque je viens d’en écrire un dans le même esprit ! Je ressens la même frustration avec ma rubrique « Mode » : j’ai envie qu’il y ait davantage de sens, de fond, d’idée.
D’un côté, j’aime énormément la mode : elle m’aide à avoir plus confiance en moi (même si on pourrait dire que c’est superflu, que la confiance ne s’acquiert pas à travers le matérialisme, etc). Les vêtements m’aident à renvoyer une image qui me correspond. Pour moi, là mode est un peu un « outil de décryptage de personnalité ». Mais du coup, avec le blog, j’en consomme énormément…
Du coup, après visionnage du film documentaire que tu évoques (d’ailleurs MERCI d’en parler), j’ai eu envie de mettre la mode au service d’une autre cause. Depuis deux ans (à peu près mon entrée sur le marché du travail), je me rends compte du manque croissant d’humanité. Un monde guidé par l’argent, où les gens sont davantage apparentés à des pions qu’à des personnes à part entière (avec des besoins, genre vivre dans un appartement et se nourrir). Et si la mode pouvait m’aider à redonner un sens à mes modes de consommation ? À me sentir partie d’une société civile qui porte mes valeurs ?
À très bientôt,
PS : tu es vraiment super jolie sur tes photos !
Bisous,
Estelle
Oct 17, 2017 @ 12:53:41
Merci Estelle pour ton petit mot :) Je partage entièrement ton avis de voir la mode comme un « outil de décryptage de personnalité », je pense en effet qu’elle nous aide à mieux nous connaître et à mieux nous aimer. Et comme toi je me pose des questions sur ma consommation, comment faire pour qu’elle soit à la fois raisonnée, éthique et mise au service de valeurs humaines ? Si cela va demander des recherches et des changements, je pense que c’est un courant en plein essor et donc que ça va devenir de plus en plus facile d’avoir accès à ce genre de vêtements. Du moins, je l’espère !
Belle semaine à toi et à bientôt !
Oct 13, 2017 @ 15:34:47
J’adore ce mode de pensée de tout remettre en question, de n’épargner aucuns sujets même si, parfois, une petite voix nous dit le contraire, d’aller au bout de ces idées dans un article long et détaillé, d’écrire cet article… C’est admirable !
Oct 17, 2017 @ 12:50:03
Merci Claire, ton petit mot me touche beaucoup et me fait dire que j’ai bien fait de cliquer sur publier !
Je te souhaite une belle semaine, à bientôt :)
Oct 13, 2017 @ 18:06:44
Ce que tu dis est si juste, si réfléchi et si bien formulé ! (Et ce jean te va si bien !)
J’avoue que ta question m’a laissée un peu sèche au départ : personnellement, j’essaie de suivre les tendances mais avec mes fonds de placard plutôt anciens, en adaptant, mixant, arrangeant du vieux pour essayer de créer une silhouette actuelle.
Oct 17, 2017 @ 12:49:27
Oh merci Vanessa ! J’aime beaucoup ton parti pris de recréer la silhouette actuelle avec « d’anciens » (tout est relatif) vêtements. Ecolo et créatif, le parfait combo !
Je te souhaite une belle semaine, à très vite !
Oct 14, 2017 @ 13:58:53
Je partage largement ton ressenti. Pendant très longtemps, pour moi, la mode c’était surtout quelque chose que je ne maîtrisais pas, c’était au delà de mes compétences. Mais j’étais une fille sérieuse, alors je me disais que ne pas être jolie, c’était le jeu (les préjugés s’ancrent si facilement en nous…), et puis je dois reconnaître que je trouvais ça tellement futile ! En devenant adulte ma façon de consommer à beaucoup changé : j’ai commencé à privilégier des produits durables, fabriqués de façon plus respectueuses, et surtout qui me font plaisir quand je m’en sers. Et c’est comme ça que j’ai commencé à utiliser la mode à ma façon : en achetant moins, mais mieux, de façon plus réfléchie, en apprenant à reconnaître ce qui me va (et me plait) vraiment. Et finalement en s’écartant de plus en plus de la mode et des tendances qui nous sont vendues dans les magazines. Cela prend du temps, et nécessite de faire sans cesse de nouveaux ajustements, mais c’est aussi un peu, je crois, une façon d’apprendre à s’aimer un peu plus.
Merci pour cet article :)
Oct 17, 2017 @ 12:47:29
Merci Laëtitia pour ton petit mot, je partage certains de tes ressentis vis-à-vis de cette évolution de regard. Et j’aime beaucoup ta conclusion « une façon d’apprendre à s’aimer un peu plus » car oui, je crois vraiment que dans le dialogue qui s’installe par le choix de nos vêtements, c’est aussi un processus d’apprivoisement de son image qui prend place.
Je te souhaite une belle semaine, à bientôt !
Oct 15, 2017 @ 21:10:53
Je pense qu’avec l’âge on devient plus raisonnable et on a naturellement envie de se tourner vers une consommation plus qualitative. Ce qui suppose de réduire un peu ses achats, d’acheter moins mais mieux… bref, des choses simples et pleines de bon sens mais qui ne sont pas si évidentes à appliquer que cela. Par quoi commencer, comment procéder ? Et puis il y a la question du budget aussi, acheter des vêtements de qualité, c’est forcément plus cher au départ même si c’est un investissement sur le long terme qui est vite rentabilisé.
J’ai toujours aimé la mode et je ne la trouve guère futile, au contraire. Les vêtements nous enveloppent, nous rassurent, nous donnent une identité, nous permettent de s’amuser des codes et parfois de libérer la créativité. Je trouve ça passionnant ! On reproche souvent à la mode son côté élitiste car on l’associe à la futilité (sous-entendu qu’elle n’est pas utile) et à l’univers du luxe et des défilés, mais même si ce milieu possède un côté sombre, il n’en reste pas moins fascinant et indispensable !
Pour ma part, j’ai longtemps cherché quel sens je voulais donner à tout ça mais il n’y en a pas vraiment : j’aime m’habiller avec des vêtements confortables et qui me plaisent, point barre. Je ne me prends plus trop la tête, je suis les tendances si elles me plaisent, je ne les suis pas si elles ne me plaisent pas. Et la naissance de mes enfants a été un vrai déclic, surtout celle de Basile. Je n’ai plus le temps d’essayer 36 tenues alors je vais à l’essentiel. J’ai effectué un tri assez drastique de ma garde-robe quand j’ai emménagé dans mon appartement il y a 5 ans (et pourtant il y possédait plus de rangements que le précédent, j’aurais facilement pu entasser). J’adore le fait d’y voir clair et de ne posséder que des jolies pièces que j’ai envie de porter. Mais bien sûr ça prend du temps de se créer le dressing idéal. Je pense sincèrement qu’il faut atteindre une certaine maturité pour réussir à s’y tenir. Et je ne me pose pas en donneuse de leçon en disant cela, je me réfère simplement à ma propre expérience.
J’aimerais juste terminer ce commentaire par un encouragement : j’aime quand tu abordes ce sujet et tu ne dois surtout pas te sentir gênée ou illégitime de poster tes tenues. On a toutes une légitimité à parler de mode car nous nous habillons toutes tous les jours !
Oct 17, 2017 @ 12:44:39
Merci Anne pour ton long message et tes encouragements (cela me fait drôlement plaisir de lire que tu aimes ces articles), j’ai adoré te lire sur ce sujet. Le parallèle que tu fais entre l’âge et nos choix de consommation fait sens dans ma propre expérience, je ne consomme pas de la même manière qu’il y a 5 ou 6 ans et mes récentes prises de conscience me font penser que je pourrais dire encore la même chose dans quelques années. Comme toi, je fais le tri dans les tendances et si j’ai conscience de forcément être influencée par elles (encore une fois parce que l’on trouve dans les boutiques ce qui est dans l’air du temps), j’essaie de n’acheter que ce qui me plaît vraiment, convient à mes habitudes, me permet d’être à l’aise et pourra durer longtemps. Et c’est là que l’âge entre à mon sens le plus en jeu car il nous permet de mieux nous connaître et d’apprendre de nos achats ratés.
Je te souhaite une belle semaine, à très vite !
Oct 18, 2017 @ 12:00:23
Coucou Célie,
Ton article est très intéressant, je partage largement ton ressenti. La question de la surconsommation de vêtements mais également celle de la place de la mode dans ma vie me travaillent passablement depuis quelques mois et je ne sais pas encore où me placer exactement. C’est assez ambivalent car d’un côté j’aimerais aller vers le minimalisme mais de l’autre, lorsque je suis dans un magasin, j’aurais envie de tout acheter. C’est un cheminement, je me laisse le temps de savoir ce que je souhaite vraiment là-dessus et un article comme le tien permet de soulever certaines interrogations importantes.
Comme toujours, un plaisir de te lire.
A bientôt :)
Oct 23, 2017 @ 22:17:56
Je partage ton tiraillement entre ces deux opposés mais comme toi je pense que ça vaut le coup de se laisser le temps pour voir ce qui nous correspond et ce qui ne nous correspond pas. Cela prend du temps et de changer, et de mieux se connaître :)
Je te souhaite une belle soirée, à bientôt !
Oct 20, 2017 @ 10:03:58
J’ai l’impression de voir de plus en plus de prises de conscience de ce genre sur la blogosphère et je trouve que c’est vraiment une bonne chose. Malgré tout, raisonner sa consommation est toujours quelque chose d’assez difficile, justement à cause du manque d’accès à l’information. Disons que c’est plus facile quand on fait ses achats sur internet de prendre le temps de se renseigner sur telle ou telle marque, mais quand on se retrouve dans les magasins pour une journée shopping, le tri devient tout de suite beaucoup plus compliqué. Je pense qu’il ne faut pas se culpabiliser pour autant, la consommation responsable se fait sur le long terme et il ne faut pas pour autant avoir honte des vêtements qu’on possède et qui ne sont pas suffisamment éthiques. Le simple fait d’avoir conscience de tout ça est déjà un superbe pas en avant.
Oct 23, 2017 @ 22:16:32
Je partage ton point de vue : dur dur d’accéder à ces informations et de les mettre en pratique lors d’une journée shopping. Je pense néanmoins qu’avec les prises de conscience plus nombreuses ces derniers temps, les marques éco responsables vont pouvoir se démocratiser davantage, grandir et toucher un plus grand public (voire s’inviter dans nos journées shopping avec des boutiques IRL ?). En tous cas, je l’espère :)
Je te souhaite une belle soirée, à bientôt !
Oct 20, 2017 @ 12:59:11
Très jolie tenue. Ton article raisonne aussi en moi… j’ai perdu du poids récemment, et du coup je suis en plein en train de refaire ma garde-robe, mais à la fois plus minimaliste, et plus écologique. J’essaye d’acheter quelques pièces vintage (sur etsy notamment) et sinon des marques que je sais un peu plus responsables. Je choisis des matières de qualité. Mais la transition n’est pas si simple, il m’arrive encore trop souvent de craquer pour de la fast fashion…
Et sinon, je réfléchis toujours à 3 fois avant d’acheter. Si j’ai le moindre doute, je rapporte l’article. En ce moment, je cherche des chaussures, j’en ai commandé 3 fois sur zalando, et j’ai à chaque fois renvoyé car pas sûre de moi… plutôt que de ne pas les porter ou de les porter en étant à moitié satisfaite, je préfère faire ça. Bon par contre, j’avoue que la commande à distance 3 fois de suite à un coût écologique non négligeable :/ dur d’être parfait !
Oct 23, 2017 @ 22:14:29
Merci pour ton petit mot Amélie :) Comme toi, j’essaie au maximum de réfléchir mes achats et de n’acheter que si je suis sûre de moi… Ce n’est pas toujours évident mais j’apprend progressivement !
Bonne soirée et à bientôt !
Oct 27, 2017 @ 17:42:07
J’ai découvert l’existence de ce blog depuis quelques minutes, lu trois de tes articles. Je ne compte pas m’arrêter là.
J’effectue une pause dans ma découverte, en te postant ici, ce commentaire: Ta syntaxe et ta façon d’entreprendre les sujets me fascinent simplement. Tu traite le sujet abordé avec objectivité sans pour autant t’oublier, ce que je trouve vraiment appréciable.
J’ai dans l’optique de mettre mon blog en ligne prochainement, je lis donc beaucoup et m’intéresse à tous les sujets. Ton blog est un parfait exemple du site travaillé, passionné et accessible auquel j’aspire.
Je te remercie donc, de partager sur la toile des articles et une vision si riches en sens et passion.
Nov 02, 2017 @ 20:46:16
Merci beaucoup Jessica pour ton petit mot qui m’a beaucoup touchée et bienvenue par ici ! J’espère que tu continueras à trouver ton bonheur sur ces pages :)
Je te souhaite une belle fin de semaine, à très vite !
Nov 15, 2017 @ 19:21:55
Bonsoir Célie,
Merci pour cet article, je ne voyais oas du tout la mode de ce point de vue et je trouve que tu as raison. Je ne sais pas si je pourrai appliquer les memes regles sur ma grde robe vue que j’ai celle du boulot qui est assez stricte mais pour le reste, oui c »est faisable. Tres jolie tenue soit dit en passant.